Senegal

Quelques sculpteurs senegalais

Ndary Lo
Né en 1961 à Tivaouane au Sénégal, Ndary Lo expose depuis 1996. Il vit et travaille à Dakar. Diplômé de l'École nationale des Beaux-arts de Dakar, Ndary Lo poursuit une recherche sur le thème de l'Homme, avec comme matériau de base le fer.  Avec ses «Hommes qui marchent», il a participé à diverses expositions au Sénégal et à l'étranger ; Chevalier des Arts et Lettres de la République française, il a obtenu plusieurs prix et distinctions, dont le Grand prix Léopold Sédar Senghor de la Biennale de Dakar en 2002 et en 2008.(http://www.ndary-lo.com/)

El Hadji Dioum
El Hadji Dioum est un sculpteur très original il créé et sculpte ses sculptures dans son atelier situé dans le village artisanal. Son art est remarquable il décrit la Casamance au travers de personnages aux styles fluides et élancés.
El Hadji Dioum est aussi le spécialiste des sculptures représentants des sportifs tels que des joueurs de golf, tennisman et autres aventuriers ayant sillonnés l'Afrique.

(http://www.cap-skirring.fr/village_artisanal_cap_skirring/el_hadji_dioum/sculpteur_el_hadji_dioum.html) 

Makhone Diop et fils
L’art de la sculpture en bronze se confond quelque part avec l’histoire de la famille Diop. Ce savoir-faire familial transmis du grand père aux petits fils est devenu une signature célèbre et reconnue dans le monde. Initié par Cheikh Maknone Diop, natif de Diourbel, l’art du travail de la fonte a été transmis à son fils, puis petits fils, neveux et frères autour des Ateliers Makhone Diop et fils. L’entreprise familiale allie le secret de cet héritage traditionnel aux techniques modernes de la sculpture pour produire des œuvres aussi symboliques que fascinantes visibles au Sénégal et à l’étranger. (http://www.au-senegal.com/makhone-diop-et-fils-famille-de-sculpteurs,6759.html)

Ousmane Sow

Né à Dakar en 1935, Ousmane Sow débarque à Paris à l'âge de 22 ans, où il vit de petits boulots, de nuits passées au chaud dans les commissariats parisiens, de l’hospitalité des uns et des autres, avant d'entrer à l'école de Boris Dolto. Avant de s’accomplir dans sa passion, il se consacrera donc à un métier - lié au corps, évidemment - : il sera kinésithérapeute. Mais dès sa plus tendre enfance, Sow sait qu’il deviendra sculpteur. Sur les plages sénégalaises déjà, il ramassait des pierres pour les modeler, les façonner. "Vous renouvelez ce geste vieux comme l’humanité. Vous avez, l’instinct du sculpteur", dit de lui Jean Cardot. Son maître d’école expose l’une de ses premières sculptures dans la classe. Un bon présage.
Arts artisanaux

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